Il y a un an…

Il y a un an, des innocents périssaient aux terrasses des cafés, à l’entrée d’un stade, dans une salle de concert…

Jeunes ou moins jeunes, hommes ou femmes, mariés ou célibataires, tous voulaient croquer la vie à pleines dents.

Aujourd’hui, leur absence nous peine et nous porte à la fois.

Et comme l’a si bien chanté Sting :

« That nothing comes from violence and nothing ever could
Que rien ne naît de la violence et n’en naîtra jamais
For all those born beneath an angry star
Pour tout ceux, nés sous une mauvaise étoile
Lest we forget how fragile we are
De peur que nous oublions à quel point nous sommes fragiles

AP